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Au secours

26 mai 2010

Texte argumentatif

Le Mercredi 26 Mai 2010, Quarouble

A Monsieur le Président

de la République

Palais de l'Élysée, Paris.

Dessaint Yohann,

19 rue roger salengro,

59243 Quarouble

Monsieur le Président,

       Je vous écris cette lettre pour vous faire par de ma déception à la suite l'annonce d'un de vos ministres. En effet, il a annoncé que le retour des femmes à la maison résoudrait bien des problèmes, il a précisé qu'il réduirait entre autre le taux de chômage. Le but de ces quelques lignes est de vous faire part de mon opinion.

       Premièrement, le taux de chômage, contrairement à la déclaration de votre ministre, augmenterait fortement car certains hommes ne peuvent faire le travail des femmes. En effet, il est prouvé que les femmes font plus d'études que les hommes et donc pratiquent un métier difficilement accessible. La conclusion de cette première chose est que non seulement on supprime les postes des femmes mais en plus les hommes ne pourront les prendre donc le chômage augmenterait.

     Deuxièmement, cela entrainerait une forte baisse des revenus par famille: il n'y aurait plus qu'un salaire donc moins d'argent net par mois pour les loisirs...etc... De plus, avec un seul salaire l'inflation et la crise supprimeraient le mot vivre pour laisser place au mot « survivre ».Seconde conclusion, le retour des femmes à la maison entrainerait donc une baisse des revenus et donc de la consommation.Ce qui m'amène au troisièmement.

      Le dernière chose que je voudrais dire et que cela serait catastrophique pour l'État qui verrait ainsi s'accentuer son déficit. En effet, des aides financières seraient de plus en plus demandée ce qui serraient très coûteux pour l'État. Mais ça ralentirait également l'économie car plus de chômage donc moins de revenus donc moins d'achats diverses.

     Voilà j'espère que tout cela vous fera réagir car en cas d'adhésion à ce projet c'est un cercle vicieux que vous entrainerait.

             Mes plus sincères salutations.

Dessaint. Yohann

Syntaxe:0.5

Orthographe:2

Conjugaison:2

Registre de langue:0.5

Lettre( adresse, date, lieu, signature ) :1.5

Paragraphe/alinéa:1.5

Arguments valable:3

Justification des arguments:3

Thése souenue:1

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7 novembre 2009

E.Manet, Dans la serre.

images_1_

Joseph marcha, il marcha dans Paris. Lors de cette marche qui était habituelle, il découvrit un lieu magique, une serre. La serre était magnifique. Toutes ces petites fleurs, ces palmiers de moyenne stature, toute cette verdure, lui donnait un aspect paradisiaque. Mais la plus belle chose dans ce lieu fut cette jolie jeune femme nommait Victorine que Joseph trouva sublime. Il s’approcha pour mieux la voir. Elle était vêtue d’une robe de couleur bleu en soie, d’un nœud papillon noir qui était assemblé à sa ceinture. Elle portait également de petits accessoires jaunes comme un chapeau de fleurs, un gant de dentelle à la main droite et un parapluie. Son visage pâle était d’une telle splendeur avec ses yeux de petites tailles, son nez ordinaire et sa fine bouche. Victorine ne trouva pas Joseph à son coup. Il portait un long manteau  de mauvaise qualité et un pantalon beige qui était trop court. Il avait une tête normale sauf qu’il avait une longue barbe de couleur marron et des cheveux de vieillard. Seul son regard persan de tigre plaisait à la jeune Victorine. Joseph et Victorine qui n’était pas fait pour être ensemble, quittèrent cette endroit de paradis chacun de leur coté.

16 septembre 2009

Happy meal ! " suite"

Je sors enfin de ce putain de Mac Do avec cette magnifique créature aux yeux de rêve. Elle me tend sa main. Je la prends avec satisfaction. Je marche, regardant ce trottoir dégueulasse. Puis je pose les yeux sur elle. Tout s'arrête. Je ne pense plus à rien et je lui dis.

- Je passe un agréable moment en ta compagnie !

A ce moment là, son sourire s'illumine. Ces magnifiques dents apparaissent : elles sont d'une blancheur étincellante. Dois-je l'embrasser ? Pas le temps de me décider car elle me répond.

- Tu sais, c'est réciproque.

M'aime t-elle vraiment ? Je ne le sais pas mais je suis tellement bien en sa compagnie. Quand soudain un bruit me perturbe. Ce bruit est à la fois si fort et si intense qu'il est en train de détruire mes oreilles. C'est affreux... Je sens la femme que j'aime disparaître, son image s'estompe. C'est horrible, tous n'est plus que poussière : " Driiiiiiiing ! Driiiiiiiiing ! " Mon réveil. Tout cela n'était donc qu'un rêve !

 

 

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